Le deuxième jour, départ pour Isola 2000. Comme pour la veille, il faut compter une bonne heure et demie de voiture avant d'atteindre la station, mais honnêtement, les paysages traversés valent en eux même le détour (sauf la vallée du Var au départ de Nice qui est totalement ruinée, la faute à un urbanisme totalement incontrôlé... ).
Isola est une station entièrement artificielle (comme Auron, finalement). D'un point de vue architectural, c'est un ratage complet. D'un point de vue écologique aussi, d'ailleurs. La nature a été totalement saccagée à grand coup de bulldozer, et ici on ne s'est même pas embarrassé à tenter de sauver les apparences : grandes saignées, terrassements débiles, immeubles de grande auteur, tout y est.
Mais bon, arrêtons là l'hyprocrisie, si on est venu, c'est pour skier, et on est bien contents que les pistes et les remontées soient là. Les pistes sont globalement plus exigeantes qu'à Auron, il y a des rouges bien rouges et des noires bien senties. Tout au sommet de la station, la vue est carrément fantastique :
Question ski, j'avais les cuisses cassées, mais globalement j'ai quand même bien pris mon pied.
Brico et Rapha se sont bien amusés à sauter tout ce qu'ils pouvaient sauter (on parle bien de ski... ), et comme j'avais le reflex (qui m'a bien emmerdé avec son poids, d'ailleurs), j'ai pu prendre quelques photos que j'espère sympa :
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